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Le métavers. Ce lieu où l’imaginaire se substitue à la réalité – transportant l’individu dans un monde entièrement nouveau – deviendra possible pour toutes sortes de produits et services.
Les investisseurs obligataires ont connu une période difficile en 2022. Mais une nouvelle ère a commencé lorsque les banques centrales ont entamé leur marche forcée de hausses des taux d'intérêt, offrant de nouvelles opportunités aux investisseurs.
La prudence continue à dominer sur les marchés et les avis sont partagés quant à l’approche à adopter pour les prochains trimestres. Si certains investisseurs choisissent de se focaliser sur les données encourageantes constatées au niveau des bénéfices et de l’inflation, nombreux sont ceux qui restent sur la défensive et pointent la détérioration inévitable des dépenses de consommation et de la liquidité fournie par les banques pour financer l’économie.
Les marchés boursiers européens sont restés orientés à la hausse au cours des quatre dernières semaines, grâce à des surprises économiques positives et à une forte baisse de l'inflation globale, favorisée par les effets de base dans le secteur de l'énergie. Cette progression a été essentiellement tirée par les grandes capitalisations et les secteurs de croissance défensifs.
Les marchés financiers ont progressé en avril : actions et obligations convertibles ont enregistré les meilleures performances, suivies par les obligations à haut rendement. En revanche, les obligations d'État ont sous-performé sur la plupart des grands marchés, à l'exception du Japon. Nous avons également assisté à un rétablissement des obligations subordonnées et « CoCo », au détriment des émissions plus seniors.
Dans nos scénarios économiques et de marché, la prochaine étape suggère un ralentissement de la croissance et une baisse progressive de l'inflation aux États-Unis d'ici à la fin de 2024. Par conséquent, la baisse des taux d'intérêt devrait suivre, et nous conservons un biais de duration longue pour les obligations. Nous prévoyons un atterrissage en douceur et sommes acheteurs de crédit investment grade et de dette émergente, car le portage est attrayant dans ce contexte. Du côté des actions, nous conservons une position neutre. En effet, nous considérons que leur potentiel de hausse est limité par les incertitudes qui pèsent sur les perspectives. Si ces risques se concrétisent ou en cas de complaisance des marchés financiers, nous sommes prêts à réduire notre exposition.
« Si la France se repose sur son nucléaire, elle ne fera pas le nécessaire en termes de renouvelables », fait-on valoir côté allemand. « Quand il s’agit d’importer du GNL dégueulasse issu du gaz de schiste ou de faire tourner ses centrales à charbon, l’Allemagne est moins regardante » s’agace-t-on de l’autre côté du Rhin.
Nicolas Forest, Actions, Obligations, Macro, Allocation d'Actifs
With the upcoming 2023 Turkish presidential election, scheduled to take place on 14 May, we are sharing our views and sentiments on the possible outcomes and their consequences.
Candriam a le plaisir d'annoncer la nomination de Nicolas Forest, responsable de la gestion obligataire de Candriam depuis 2013, au poste de directeur des investissements (Chief Investment Officer – CIO), à compter du 1er mai 2023.
Les investisseurs obligataires ont connu une période difficile en 2022. Mais une nouvelle ère a commencé lorsque les banques centrales ont entamé leur marche forcée de hausses des taux d'intérêt, offrant de nouvelles opportunités aux investisseurs.
Le resserrement monétaire, unique en son genre, opéré par la Réserve fédérale américaine (Fed) au cours des douze derniers mois a engendré des vulnérabilités financières.
Alors que le stress bancaire de mars se déroule, il pourrait nous aider à nous rappeler le long chemin que les banques ont parcouru, et le chemin qui leur reste à parcourir. Ces parcours sont très différents de part et d'autre de l'Atlantique.
Les portefeuilles gérés par Candriam ne sont exposés à aucun titre de Credit Suisse, ni aucune opération de gré à gré ou de prêt de titres avec Credit Suisse.