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La forêt que nous avons dévorée : comment l'agriculture détruit la biodiversité

La perte de biodiversité a des implications financières et en matière d'investissement. Tandis que les organisations à but non lucratif et les investisseurs comme nous peinent à quantifier nos risques, les indicateurs qualitatifs se multiplient.

Tout le monde s'accorde à dire que les chiffres sont élevés. La Banque mondiale indique que l'agriculture reste l’un des principaux moteurs de la déforestation[1], tandis que la FAO estime que l'expansion des terres agricoles est responsable de 90 % de la déforestation mondiale. Les efforts considérables de reforestation ne suffissent pas : comme le montre le graphique, la FAO estime que la nouvelle déforestation dépasse les reboisements.

L’UE estime que ses importations de denrées alimentaires et d’aliments pour animaux représentent environ 16 % de la déforestation mondiale, et a engagé des mesures pour y remédier. Le règlement de l'UE sur la déforestation (EUDR) imposera aux entreprises d’assurer une traçabilité complète de leurs importations afin de démontrer que plusieurs matières premières à haut risque, telles que le cacao, l’huile de palme et le bois, ne proviennent pas de terres qui ont été déboisées après 2020.

 

Déforestation et reforestation

Implications pour les investissements ? 

L'estimation de la Banque mondiale selon laquelle l’érosion de la biodiversité nous coûtera 2 700 milliards de dollars par an[2] devrait vous inquiéter. La difficulté à établir des estimations précises devrait vous effrayer davantage. Mais si ces chiffres chocs ne vous préoccupent pas, soyez attentifs : l'EUDR prévoit des sanctions. Ce règlement s'appliquera non seulement aux entreprises établies dans l'UE, mais aussi à celles qui y opèrent. En outre, il couvre la déforestation en dehors de l'UE. On peut espérer que cela changera la donne pour la biodiversité. Mais, avant tout, cela pourrait bien changer la donne pour vos investissements.  

 

Dévorons-nous notre avenir ?

Chez Candriam, nous pensons que protéger la biodiversité, c’est préserver la valeur économique.

Notre dernier livre blanc, Dévorons-nous notre avenir ?, analyse :

  • Les risques financiers significatifs et croissants que la déforestation représente pour les entreprises et les investisseurs.
  • L'impact des nouvelles réglementations, des exigences de transparence et des sanctions telles que l'EUDR.
  • La manière dont la nature est devenue une source de double matérialité pour les investisseurs, les entreprises ayant un impact sur les écosystèmes, tandis que le déclin de ces écosystèmes affecte de plus en plus leurs performances financières.

 

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