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Les portefeuilles gérés par Candriam ne sont exposés à aucun titre de Credit Suisse, ni aucune opération de gré à gré ou de prêt de titres avec Credit Suisse.
L’effondrement de la Silicon Valley Bank – la 16e banque des États-Unis – a provoqué une onde de choc sur les marchés financiers. Malgré une certaine résilience, les marchés européens ont cédé du terrain dans ce contexte. Durant la phase de correction, et plus particulièrement depuis début mars, les valeurs de croissance se sont mieux comportées que les titres « value » et les grandes capitalisations ont surperformé les petites.
Soutenus par la baisse de l'inflation des deux côtés de l’Atlantique, la fin précipitée de la politique « zéro-Covid » en Chine et l'hiver relativement doux qui a permis d’éviter une crise énergétique et une récession en Europe, les marchés européens ont connu un début d’année en fanfare.
Malgorzata Kluba, Rudi Van Den Eynde, Oncology, Actions
Malgré un rebond plutôt significatif à partir du mois d’octobre, les marchés actions
européens, malmenés par d’importants flux sortants depuis le début de la crise en Ukraine,
enregistrent une correction sur l’année 2022 (-9,5%). Bien que les actions européennes
aient terminé l'année en surperformance relative par rapport aux Etats-Unis (-13,4%) et
aux pays émergents (-15,1%)1, l’année n’en demeura pas moins une source d’inquiétude
pour les investisseurs qui s’interrogent à présent sur le programme pour 2023.
Les marchés boursiers européens ont enregistré un rebond significatif depuis le mois dernier. Cette reprise est principalement due à la décision de la Chine d’assouplir sa politique « zéro-Covid ».
Après un début de mois hésitant, les marchés boursiers européens ont poursuivi leur redressement depuis le plancher atteint en octobre, pour terminer le mois de novembre nettement dans le vert.
Les actions européennes se sont redressées au cours des quatre dernières semaines. Ce rebond est principalement dû aux valeurs de rendement, qui ont surperformé les valeurs de croissance depuis notre dernier comité actions.
Les actions européennes ont terminé le mois de septembre en territoire négatif. En Europe, la crise énergétique a encore dominé l’actualité, la Russie ayant complètement interrompu les livraisons de gaz via le gazoduc Nord Stream 1 début septembre.
L’engagement des banques centrales à maîtriser l’inflation, malgré la menace que cela fait peser sur les perspectives de croissance, a déstabilisé les marchés en août. Alors que l’été a apporté des sécheresses et des canicules historiques dans de nombreuses régions, le refroidissement de l’économie mondiale s’est poursuivi. Globalement, l’incertitude entourant les perspectives de l’économie mondiale reste élevée. Cette incertitude est particulièrement notable en Europe : après six mois de guerre en Ukraine, aucun signe de cessez-le-feu ne se profile, tandis qu’une récession est de plus en plus probable cet hiver, alors que la crise énergétique qui frappe la région s’intensifie.
Les marchés internationaux ont encore subi une correction en juin, enregistrant leur plus mauvaise performance semestrielle depuis plus de 50 ans (pour les marchés développés).
Climate Action, Actions, ESG, ISR, Paulo Salazar, Galina Besedina, David Czupryna
25 ans d’expérience dans l’investissement responsable, 25 ans d’expérience dans les actions émergentes, et plus de 15 ans à combiner les deux. Doubler les moteurs de performance:
Historiquement, les marchés émergents ont été les moteurs de la croissance mondiale. Les temps changent - la tendance est à la démondialisation - mais les pays émergents contribuent toujours à plus de la moitié de la croissance économique mondiale.
Depuis le début de l’année, le marché européen - à l’instar des autres zones géographiques - subit une sévère correction. Le marché guette le point bas, le feu vert qui lui permettra de se repositionner à long terme.
La surperformance des valeurs liées à la santé durant la pandémie de COVID-19 a fait ressortir, une fois de plus, la nature innovante du secteur. Compte tenu du vieillissement de la population, et pas seulement dans les pays développés, mais aussi de l’enrichissement de certains marchés émergents, il existe une demande croissante d’innovations, aussi bien dans le domaine de la pharmacologie que dans celui de la technologie médicale, à l’instar des nouvelles solutions pour la colonne vertébrale, des défibrillateurs et de la chirurgie robotique.
Après la sévère correction enregistrée depuis le début de l'année, les marchés mondiaux se sont quelque peu stabilisés en mai. Nous notons toutefois peu de nouveaux éléments. Comme annoncé, la Fed a relevé ses taux directeurs.
Dans le sillage du premier trimestre, le mois d’avril a été compliqué pour les investisseurs. La guerre en Ukraine, les confinements en Chine et la perspective d’un resserrement substantiel de la politique monétaire américaine ont pesé sur le sentiment.
Les marchés boursiers mondiaux ont connu un début d'année difficile en raison des craintes liées à la remontée de l'inflation et des taux d'intérêt, ainsi que de l'invasion russe en Ukraine, qui a entraîné une flambée des prix de l'énergie et des matières premières.Malheureusement, les investissements liés au climat n'ont pas non plus été épargnés par cette tourmente. La crise actuelle pourrait néanmoins, selon nous, entraîner une accélération des investissements liés au climat, solution indispensable pour réduire la dépendance à l'énergie et aux matières premières.
En Europe, le manque de fiabilité de l’approvisionnement en gaz russe, la baisse des investissements dans l’énergie thermique et les travaux d’entretien des centrales nucléaires ont entraîné une forte hausse des prix du gaz et de l’électricité sur le continent avant qu’ils ne baissent, en décembre
L'investissement indiciel poursuit sa hausse « inarrêtable » et devrait dépasser la gestion active d'ici 2026 au plus tard, selon Bloomberg. Cette tendance peut être utilisée par certaines stratégies Equity Market Neutral pour générer des rendements non corrélés aux obligations ou aux actions.
Actions, Highlighted, Jan Boudewijns, Outlook 2022, Paulo Salazar